bonjour Hélène,
Je comprend que l'on tombe amoureu(se)x d'une Guzzi , surtout à l'heure actuelle avec les look d'enfer qu'arborent certaines machines.
Perso , j'ai possèdé une Le Mans IV pendant des années, et ma conduite est toujours conditionnée par référence à la Guze.
Même si le modèle que je pilotais n'est pas resté comme une référence dans les annales de la production de la marque, il me reste en tête la sonorité des pots, la respiration du Twin , la tenue de route , le fabuleux freinage intégral et par dessus tout le fameux couple qui permettait de reprendre à 1500 tours en 5°....
Sur ces machines , fallait être un passioné. Evidemment que les facéties du circuit électrique en a écoeurés qques uns, que les suintements de sorties de vilbrequins en ont effrayés d'autres .... Mais globalement, la machine simple de conception et très facile d'entretien permettait de tailler le bitume sans problèmes particuliers, même si chaque matin on se posait la question si la bête allait démarrer... S'ébrouant vigoureusement avec son couple de renversement , puis c'était parti..
Yann et d'autres ont un autre vécu, mais a Mandello on a essuyé des fortunes divers et les modèles , à travers le temps , en ont subit les conséquences. Aujourd'hui, les choses ont bien changées et la marque est bien calée dans un groupe sérieux et qui permet aux ingénieurs de redoubler d'audace, pour preuve les modèles existants et projets suivants
http://guzzibreva-amoi.ifrance.com/guzzicarepart.html
Grand merci au créateur du site
Patrick - un peu nostalgique
