jpdesm a écrit:
Gazengran a écrit:
Je pense qu'il serait sage que tu révise tes classiques....
http://fr.wikipedia.org/wiki/Allumage_%C3%A9lectronique@+
Tu as raison.
Le lien que tu donnes ne mentionne que des principes. En fait, j'ai vérifié sur la RMT, et c'est bien un TCI. La principale raison est que les primaires des bobines sont branchés au + batterie sur une borne, et l'autre borne commutée au - batterie par le module. Sur les CDI c'est l'inverse : une borne du primaire au - batterie et l'autre alimentée par le module.
La résistance du primaire des bobines est certes plutôt du côté des TCI : suivant les auteurs ils donnent une limite à 1 ou 2 ohms. J'avais dans la tête une limite à 5 Ohms : il fallait donc que je révise.
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j'essplique sommairement
TCI ou Alumage transistorisé
Ce type d'allumage fonctionne exactement comme un allumage rupteur classique.
La bobine est alimentée pendant un certain temps pour y emmagasiner de l'énergie
Au moment voulu (celui ou doit se produire l'étincelle) le courant est brusquement coupé, toute l'énergie stockée dans le primaire de la bobine se retrouve appliquée au secondaire par auto induction (la bobine est un transfo particulier)
Et on récupère au secondaire une impulsion de très haute tension (10 a 20 Kv)
CDI ou allumage a décharge capacitive
Ce type d'allumage fonctionne presque l'envers du précédent
On charge un condensateur sou une tension assez élevée (80 a 200 volts) fournit; soit par un ou plusieurs enroulements du stator; soit par un convertisseur (solution rare)
Au moment voulu, le condensateur est connecté au primaire de la bobine, il s'y décharge alors brutalement en générant au secondaire une très haute tension (40Kv env)
@+