Le Crabe, si délicieux dans une assiette mais si vicieux dans le corps...
Tous ces appels permettent surtout à attirer l'attention sur cette maladie
qui, au départ, est indolore, cachée, insoupçonnée mais possible à battre.
Il n'y a pas si longtemps on parlait de "mort suite à une longue maladie"...
Et puis on a osé le mot. Personnellement, il m'a fallut du temps pour oser le placer
dans une discussion. Par peur de choquer, gêner, mon interlocuteur ?
Par "honte" de m'être fait piégé? Et puis une fois accepté, reste le combat.
De cette maladie il faut en parler, attirer l'attention ne serait-ce que pour accentuer
la prévention. N'hésitez pas à consulter au moindre doute. N'ayez plus peur de ce Crabe.
Les soins ont merveilleusement progressé. Et pris à temps, les équipes partent à égalité.
Ceci n'est juste qu'une vue concrète face à ce fléau. Et que vive la Vie

Le vaccin contre le cancer, c'est quand même une vieille histoire…
On en parlait dans les années 60-70 et c'était lié à la croyance que le cancer était induit par un ou des virus.
Depuis, on s'est rendu compte que ces maladies (il n'y a pas un mais des cancers) étaient multifactorielles et qu'un vaccin était illusoire.
Commençons à prendre VRAIMENT soin de notre santé en ne mangeant pas trop riche et trop de cochonneries, bougeons un peu et régulièrement nos vieux os, laissons tomber la clope, la picole si la modération n'y est pas.
Rien qu'avec çà, on se protège des plus courantes des maladies chroniques de l'âge mûr (hypertension, diabète, bpco, insuffisance cardiaque,…), on diminue ses perspectives de cancer et on améliore sa qualité de vie.
De plus, si on croise le crabe (et je parle par expérience), on est dans un état sanitaire permettant de supporter au mieux les traitements et opérations.
Mon but n'est pas de dénigrer les appels aux dons pour le cancer mais je pense que dans ce domaine, charité bien ordonnée commence par sois-même en ce sens qu'il vaut mieux payer de sa personne pour que le don que l'on peut faire aussi ne soit pas une avance sur quelque chose qui va nous arriver ensuite.
On agit ainsi concrètement pour sa propre santé, on contribue de la meilleure façon qui soit à limiter le coût, les quelques mesures hygiénistes que je cite étant porteuse de milliards d'euros d’économies potentielles pour la collectivité.
Alors, c'est vrai que c'est un démarche qui coûte que de consacrer, en ce qui me concerne, du temps et de l’énergie au quotidien pour bouger et un travail sur la volonté pour conserver une discipline alimentaire qui n'exclue pas d'aliments mais gère les quantités.
Mais quand je constate que ma qualité de vie et mon état physique, suite à à peine une année de remise en question font que l'on me dit que j'ai maigris (pantalons en taille 42 au lieu de 48), que je suis moins voûté, que je fais plus jeune et d'autres constatations du genre, je me dis que çà vaut la peine et qu'il n'était pas trop tard, malgré que je sois dans le demi-siècle qui va me tuer, de faire quelque chose pour optimiser mes paramètres vitaux.
Ce n'est pas une assurance tout risque contre le crabe et rien ne dit qu'au moment où j'écris il ne soit pas en train de me préparer une surprise de son crû.
Reste que la vie, c'est un jour après l'autre et que un jour en bon état, puis un autre, puis un autre, çà reste autant de victoires à savourer avant une déchéance funeste qui finira par nous tendre les bras.

Bref, comme les mâtures que l'on chevauche (je ne parle pas de la Dame de la vidéo), c'est pas parce que ci qu'elles sont capable de faire est dépassé que l'on va pas faire des effort pour qu'elles gardent leurs fonctionnalités le plus longtemps possible.