Salut les potos
Vous allez me dire il était temps, on ne l’attendait plus…. Après plusieurs mois sans mac, je l’ai enfin récupéré ! La mauvaise nouvelle c’est que je n’ai pas pu sauvegarder mes données avant le crash, et j’ai quasiment tout perdu…
Bref, passons aux choses sérieuses, le CR de ma petite vadrouille entre Tarn et Garonne.
Départ aux aurores sous un ciel partiellement couvert, la journée s’annonçait belle, la banane se dessinait au fur et à mesur des km. Une petite pause ravitaillement et je reprenais la route pour m’arrêter dix minutes plus tard afin d’enfiler l’équipement adapté à la sauce que j’allais manger pendant 400 bornes. Il était temps d’arriver, le squelette était noyé. L’accueil fut des plus chaleureux chez notre ami Oyien, une bonne partie des potos étaient déjà là et je me retrouvais vite en caleçon…
Pour mettre mon jean au sèche-linge et me mettre au sec, bande de petits salopiauds, what did you expect ?
Après quelques mets liquides et solides, la nuit tombe vite au pays d’Oc
Notre fine équipe
Visite de Montauban
un petit clin d'oeil
Le week-end était terminé, les bosseurs allaient bosser, les touristes allaient rouler. C’est donc un trio qui prit la route pour rejoindre notre ami Desmo
allure tranquille
on se rafraichit un peu comme on peut
où est Yienyien?
Liaison faite chez Desmo qui nous emmenait dans un de ces recoins que les touristes ignorent, par des petites routes, dont on se demandait si elles étaient sur la carte, tant on n’a pas croisé de touristes.
corvée de bois pour tous
on fait de la buchette
installation du camps et enfin on profite du panorama : camper au milieu de nulle part, sur un pic rocheux entouré par les vestiges d’une fortification, y’a pas mieux. Mieux qu’un 5*, c’était un palace à ciel ouvert sur l’infiniment grand.
on installe un minimum de confort et on refait le monde
on remet un peu de bois pour la nuit
on papote jusqu’à plus soif et Desmo et moi décidons de passer la nuit à la belle étoile, pour ne rien rater des moments magiques qui nous attendaient dès l’aube.
Puis on a repris la route tranquilou après le petit dej ; le paradis du motard c’te contrée, surtout avec les guides que nous avions. Depuis 3 jours je kiffais grave, comme disent les djeun’s. Je n’étais pas au bout de mes surprises. Ca tourne tout le temps, ça monte ça descend, bref que du bonheur (en plus j'ai jamais vomi une seule fois dans mon casque).
Tite pause casse-croute
une centrale hydro-électrique
on touriste
et on repart, direction Albi
Mon ami Desmo, m’avait préparé un petit séjour de rêve, entre super balades et photos, je ne pouvais rêver mieux.
Un peu d’exploration urbaine
On repasse par la case ravitaillement, et nous volà à nouveau en route vers de nouvelles aventures, direction
la journée touchait à sa fin
corvée de bois
un petit apéro improvisé avec deux nanas venues apprécier le crépuscule (oui avec un C et non pas un P)
on se réchauffe autour du feu
on admire les étoiles
puis on se décide à s’allonger une heure avant le lever du jour. Le réveil me fut pénible d’ailleurs mais Desmo n’avait pas fait tant
d’efforts pour que je reste enroulé dans comme une fiotte dans le fond du sac de couchage.
Nous v’là donc à crapahuter à 5 plombes du mat (ou 6), par des chemins escarpés, mais je savais que le jeu en valait la chandelle.
Je venais de faire mes plus belles photos depuis longtemps!! thank you my friend
Puis il fallut redescendre démonter le campement, sécher les tentes, prendre un petit dej (les croissants au feu de pierre c’est top)
On se posait au frais vers midi, le temps de se rafraichir, mais aussi pour une bonne grosse sieste
puis direction les terres australes
pour ensuite filer au château de Montaigut
et son musée d'engins agricoles
une ferme de jadis
pour rentrer vers Albi en fin de journée
où les pigeons portugais ne sont pas rares
Les vacances touchaient à leur fin, c’est le cœur gros que Desmo me remit sur la petite route qui va bien, remonter au nord, ou si peu, pour une escale dans la Creuse.
Des fichtrement bonnes vacances, un programme et une orga au top, des potos qui se reconnaitront et des nouvelles têtes sympa, m’en fallait pas plus pour faire une promesse..
Je reviendrai un jour, je reviendrai.
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Ah bon, c'était pas les deux pieds de tonton!?
