comme le forum nous permet de faire la connaissance de gens sympatoches (du moins ils ont l'air à les lire
), avec Dadou on a décidé de rendre une tite visite à nos amis de la Yaute.Quelle catastrophe ! on aurait mieux fait de rester chez nous !
au départ de la maison, beau soleil, on était bien, il faisait beau ! Arrivé au Berthiand, on enfile une épaisseur supplémentaire, le froid nous gagne, le ciel se couvre .... et ce n'est pas tout !
une boite internationale de la région a décidé d'organiser la porte ouverte annuelle ce week end là, résultat, ils ont juste bloqué la moitié de la région ! impossible d'aller dans la direction souhaitée ! je vous dis pas le dadou comme il était content ! Un monde phénoménale sur la route, et impossible de doubler (3ème roue oblige
) enfin bref, après un détour de 30 km soit 1h30 de retard, nous voilà, enfin, arrivée à destination !
Comme il faut traverser les bois avec un char d'assaut quand les chasseurs sont de sortie (ben oui, ils chassent au bazouka là haut), pour éviter de se faire tirer comme des lapins, je n'ai pas eu le droit de faire la rando que je voulais, on est partit à pied du côté de Nernier, par le chemin des douaniers où il a fallut escalader des rochers, passer au milieu des buissons .... tout ça en bordure de lac avec vue sur des bidonvilles ! Enfin bon, merci quand même Dens pour la visite !
sur le retour de cette petite ballade de rêve, on a appris avec horreur, qu'il allait en plus, falloir que l'on passe la soirée avec réré ! le repas (fondu bressanne on a pas idée de nous faire ça comme plat, à nous bressans !) a été très difficile, impossible de manger sans un fou rire !
résultat courbatures aux joues et aux abdos d'avoir trop rigolé !
une bonne nuit de sommeil était donc la bienvenue. Dimanche, après une matinée de bricolage pour les zhoms et de piallage pour les femmes, on a repris la route sous des trombes d'eau via le Cerdon.
Dadou précise, qu'avec un week end comme celui là, on n'est pas prêt de remettre les pieds dans la Yaute !
mais en principe, on pleure quand on quitte la Yaute, pas quand il faut y revenir !
