Allez, il est temps de clore ce chapitre avant de ne plus savoir où l'on va...
Chapitre 1Tout a commencé par un très long baiser, quelques caresses furtives et exploratrices puis il l'a chevaucha prestement, introduisit la clé de contact et, d'un coup de poignet rageur, mais non moins expert, fila rapidement à l'escale et lui en mis 5 litres…
Pendant ce temps là, Isabelle et son amie Thérèse, qui rit si souvent, n'en revenaient pas d'en avoir pris 5 litres dans le réservoir, et se dirent : "Trop plein, j'ai des gaz !!!!!"
Il dû donc faire un "état des lieux" histoire de vérifier si le lieu était respectable. Il mit donc son œil dans les ténèbres. Le lieux étant entièrement a restaurer, l'entrée bien vétuste et branlante il n’hésita pas a forcer le passage et glissa la main dans le plus improbable des capharnaüms rempli de trésors inoubliables et il les a contemplés longtemps, silencieusement, avant de se dire: "Réfléchissons " en sortant de sa poche une sorte de cigarette qu'il avait roulé le matin même avec des plantes ne se trouvant pas dans le catalogue Vilmorin. "Que vais-je pourvoir faire maintenant pour agir sans brusquer cette belle mécanique qui ne demande qu'à se faire régler le tube d'admission". Il saisit son alésoir et d'un coup sec, il attaqua le limage de son orifice calaminé.
Mais, car il y a toujours un mais, mais si… Non !... Ce n'est pas vrai !...Il y aurait un mais ? Nous ne sommes qu'en Janvier !
Chapitre 2Et Alors ?.... Et Alors ?...
Et alors, hé, hé, ne voyant pas Zorro arriver, il profita pour sortir son gros blouson et casque et sans oublier de remonter son col roulé afin de protéger ses si fragiles parties non homologuées que la maréchaussée s'est empressée de vouloir mais en vain lui en contrôler le système d'ouverture qui , je le précise, reste ouvert tous les jours MÊME LE DIMANCHE (Métro : Ligne 2 - Arrêt Blanche), système d'ouverture donc qui avait du mal à accueillir sans peine ici ou là cette espèce de petit tordu, tout mou mais qui ne demandait qu'à s'exprimer, grandit par l'excitation due aux vibrations du surprenant cadeau qu'elle lui avait offert à Noël un peu avant que les trois mages repus d'avoir trop mangé de galette avaient trébuché sur le tabouret. D'ailleurs, que faisait là ce tas bourré de choses s’entremêlant en désordre, et plus surprenant il y avait un gros tas bourré, s'appelant Eliane la souple, qui surprise, glissa dans la piscine (contrepèterie ). Mais la glycine fut la plus forte et il mourut de honte.
Chapitre 3Saint Augustin ayant dit (à peu près) : "Il est honteux d'être sans honte...", pardon, sans montre. Il regarda son poignet et s’aperçut qu'il était enflé d'avoir trop attendu, avant de desserrer la Rolex qui malgré sa fiabilité légendaire commençait à retarder. Malgré cela, il avait envie de revoir certains réglages pour mieux exploiter la belle car celle ci l'avait tout émoustillé par ses feulements mélodieux les nuits de pleine lune bien que cette nuit là, la lune ne lui a pas été d'une aide quelconque malgré toute la force qu’exerce la terre sur la lune nonobstant les 384 400km et qui étaient loin d'être ce qu'elle affichait fièrement au compteur qu'il avait délibérément, avec beaucoup de doigté, (mais provoqué le renflement du poignet évoqué plus haut) oublié de changer de côté pour mieux s'insérer dans l'orifice prévu pour le passage d'un aussi gros et grand malade qui feignit de ne rien voir afin de reculer pour mieux être sûr de… Mais est-on sûr de quelque chose sans être à cheval sur la question ? Cette histoire me laisse comme un goût sur dans la bouche.
Chapitre 4A vos claviers pour la suite... 