slider a écrit:
jacques filion a écrit:
La différence entre l'homme et l'animal, c'est que l'homme peux éprouver de la compassion pour son prochain et celui qui souffre, pas l'animal !
mais les animaux n'ont pas de haine gratuite, ne pourrissent pas sciemment leur environnement, n'ont pas intégristes religieux ( ni même de religion ce qui pour moi est beaucoup mieux).Quand il se dispute un territoire c'est une question de survie et pas une raison culturelle historique ou politique.
Quand on fait disparaitre une espèces ont modifie parfois gravement l'équilibre naturel , alors que si l'espèce humaine disparaissait de la planète elle ne s'en porterais pas plus mal au contraire.
finalement je me demande si avoir la conscience de sa conscience ne serait pas plutôt un handicap qu'un avantage.
petit jeu pour fab 900 d'ou est tirée la replique suivante?
chaque mammifère sur cette planète développe instinctivement un équilibre naturel avec l'environnement dans lequel il évolue, mais vous les humains, non. Vous arrivez dans de nouveaux territoires, et vous vous multipliez, vous vous multipliez, jusqu'à ce que toutes les ressources naturelles soient épuisées. Et votre seule façon de survivre est alors d'émigrer sur de nouveaux territoires. Il y a un autre organisme sur cette planète qui se comporte de la même façon : un virus. Les êtres humains sont une maladie, un cancer pour cette planète, vous êtes une épidémie
Bonjour Slider,
Tu viens d'ouvrir une grande porte pour une bonne discussion philosophique,
ton point de de vue est tout aussi intéressant que le mien car l'homme à toutes sortent de déviation qui le pousse parfois à la destruction de son environnement, comme on dit l'enfer est pavé de bonne intentions et comme on le constate à l'occasion l'homme avec son intelligence peut faire au choix beaucoup de mal, alors que l'animal lui ne fonctionne que par instinct.
Mais une chose est sur c'est que je suis certainement très très très loin de la vérité donc tous les points de vue sont défendables.
Salut Jacques, qui essai de réfléchir avec son petit cerveau.
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